Choisir son premier sextoy : guide complet pour débuter

Vous êtes là, sur le site. 347 modèles. Des roses, des violets, des qui vibrent, des qui tournent, des petits, des ÉNORMES (genre, sérieusement ?), des à 20€, des à 300€… Et là, c’est le bug total. Comment choisir son premier sextoy quand on n’y connaît rien ? Quand on sait même pas la différence entre un vibro et un stimulateur ? Quand on a peur de se tromper et de claquer 80 balles dans un truc qui finira au fond d’un tiroir ?

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Respirez. D’abord, sachez que tout le monde est passé par là. Même cette amie qui vous parle de sa collection comme si c’était des Pokémon. Au début, elle aussi était perdue devant l’immensité du choix. Ensuite, bonne nouvelle : choisir son premier sextoy, c’est pas si compliqué. Il suffit juste de se poser les bonnes questions. Et surtout, d’éviter les erreurs classiques du débutant.

Pourquoi c’est le bon moment pour choisir son premier sextoy (et pourquoi vous hésitez encore)

Alors déjà, brisons le tabou deux secondes. En 2025, posséder un sextoy, c’est aussi normal que d’avoir Netflix. 62% des femmes en ont au moins un. Chez les hommes, on monte à 45%. Du coup, non, vous n’êtes pas « bizarre » de vouloir en acheter un.

Néanmoins, l’hésitation est normale. D’abord, il y a la peur du jugement. « Qu’est-ce que mon/ma partenaire va penser ? ». Spoiler : la plupart du temps, il/elle sera curieux(se) et excité(e) à l’idée. Ensuite, la peur de mal choisir. Avec les prix qui vont de 15€ à 400€, on a pas envie de se planter. Finalement, il y a cette petite voix qui dit « mais j’en ai pas BESOIN ».

Certes, on n’a pas « besoin » d’un sextoy. Comme on n’a pas besoin de resto alors qu’on peut cuisiner. Mais parfois, c’est juste plus fun avec les bons outils. D’ailleurs, booster son plaisir en solo devient carrément plus simple avec le bon accessoire. Et puis franchement, après une journée de merde, un orgasme garanti en 3 minutes ? Worth it.

Par ailleurs, choisir son premier sextoy, c’est aussi une forme d’exploration personnelle. Découvrir ce qui vous fait vibrer (littéralement). Apprendre votre corps. Comprendre vos préférences. C’est de l’éducation sexuelle pratique, en fait.

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Les erreurs classiques quand on veut choisir son premier sextoy (et comment les éviter)

Erreur n°1 : Voir trop grand (littéralement)

Le syndrome « go big or go home ». Genre, vous voulez directement le gode de 25cm de circonférence. Stop. Mauvaise idée.

Pourquoi ? Parce que votre corps n’est pas habitué. C’est comme vouloir courir un marathon sans jamais avoir couru. Résultat : inconfort, voire douleur, et le sextoy finit au placard. Pour choisir son premier sextoy, pensez modeste. Un vibro de 10-12cm, un plug débutant, un anneau simple… Vous pourrez toujours upgrader plus tard.

D’ailleurs, contrairement à ce que le porno suggère, la taille n’est pas tout. Un petit vibro bien placé sur le clitoris peut être 100 fois plus efficace qu’un énorme gode mal utilisé. La preuve : le Womanizer Liberty, tout petit mais redoutablement efficace.

Erreur n°2 : Le cheap à tout prix

« Pour essayer, je prends le moins cher. » Alors oui et non.

Effectivement, pas besoin de claquer 200€ pour son premier sextoy. Cependant, le vibro à 5€ sur Wish ? Fuyez. Ces trucs sont souvent faits avec des matériaux toxiques (phtalates, anyone?), ils cassent au bout de 3 utilisations, et niveau sensations… c’est le néant.

Pour bien choisir son premier sextoy, visez le milieu de gamme. Entre 30 et 60€, vous avez des options correctes et sûres. Par exemple, les marques comme Satisfyer ou We-Vibe proposent des modèles débutants à ces prix. D’ailleurs, regardez toujours quel matériau privilégier : silicone médical, ABS, verre… Évitez le jelly, le PVC, tout ce qui sent bizarre.

Erreur n°3 : Négliger la discrétion

Vous vivez en coloc ? Chez vos parents ? Avec des enfants ? Alors, la discrétion, c’est crucial.

Pourtant, beaucoup oublient ce détail quand ils veulent choisir son premier sextoy. Résultat : le vibro qui fait autant de bruit qu’une perceuse, impossible à utiliser sans réveiller tout l’immeuble. Ou le gode fluo de 30cm impossible à cacher si quelqu’un tombe dessus.

Pensez pratique :

Niveau sonore : cherchez les mentions « silencieux » ou « whisper mode »
Taille : quelque chose qui se range facilement
Apparence : certains sextoys ressemblent à du maquillage ou des objets déco
Pochette de rangement : souvent fournie avec les modèles de qualité

Erreur n°4 : Ignorer son/sa partenaire

Si vous êtes en couple, acheter un sextoy dans le dos de l’autre ? Pas top.

Non pas que vous ayez besoin de permission. Mais la communication, c’est la base. D’ailleurs, intégrer un sextoy en couple peut vraiment pimenter les choses. Cependant, ça demande d’en parler avant.

Comment aborder le sujet ? Simple : « J’ai vu un article sur les sextoys, ça te dirait qu’on essaye ? » Ou « J’aimerais explorer de nouvelles sensations, tu serais partant(e) ? » La plupart du temps, la réaction est positive. Parfois même, votre partenaire y pensait aussi mais n’osait pas en parler.

Le guide par profil : comment choisir son premier sextoy selon VOS envies

Pour les timides : commencer tout en douceur

Vous rougissez rien qu’à l’idée d’entrer dans un sex-shop ? Normal. Pour vous, choisir son premier sextoy doit être une expérience douce et progressive.

Recommandations :

Un petit vibromasseur bullet : discret, simple, efficace
Un stimulateur clitoridien à air pulsé : sensations nouvelles mais douces
Pour les hommes : un anneau vibrant simple
Budget : 25-40€ pour commencer

Ces options sont parfaites parce qu’elles ne sont pas intimidantes. De plus, elles s’utilisent facilement, seul(e) ou à deux. D’ailleurs, commencer par un usage externe permet de s’habituer progressivement.

Pour les curieux(ses) : explorer sans limites

Vous avez déjà fait vos recherches, regardé des reviews, vous savez ce qui vous attire ? Parfait. Pour choisir son premier sextoy dans votre cas, on peut viser un peu plus sophistiqué.

Recommandations :

Un vibromasseur rabbit : stimulation double (vaginale + clitoridienne)
Le fameux Womanizer : technologie unique
Pour les hommes : un masturbateur automatique
Un couple kit : plusieurs toys pour explorer
Budget : 50-100€

L’avantage de ces modèles ? Ils offrent plusieurs modes, intensités, patterns de vibration. De quoi découvrir ce qui vous plaît vraiment. Néanmoins, prenez le temps de lire les guides d’utilisation. Par exemple, comment utiliser un gode correctement fait toute la différence.

Pour les couples : le plaisir partagé

Choisir son premier sextoy à deux, c’est une aventure excitante. Mais attention, il faut quelque chose qui convienne aux deux partenaires.

Recommandations :

Un cockring vibrant : plaisir pour les deux pendant la pénétration
Un vibro télécommandé : jeux de contrôle excitants
Des menottes en soie + un petit vibro : kit BDSM soft
Le jeu Sex and Play + un toy au choix
Budget : 40-80€ pour un kit couple

Par ailleurs, commencer par des sextoys « non-menaçants » rassure souvent le partenaire réticent. Un massage avec une huile chauffante et un petit vibro ? Moins intimidant qu’un gode réaliste de 20cm.

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Les critères ESSENTIELS pour choisir son premier sextoy

La sécurité avant tout

On ne rigole pas avec ça. Un sextoy, ça va sur/dans vos parties intimes. Donc, qualité obligatoire.

Matériaux sûrs :

Silicone médical : le gold standard, hypoallergénique
ABS : plastique dur, safe et facile à nettoyer
Verre borosilicate : pour les aventuriers, incassable
Acier inoxydable : lourd mais safe

À éviter absolument :

Jelly/gelée : poreux, impossible à stériliser
PVC avec phtalates : toxique
Caoutchouc : allergisant
Tout ce qui sent chimique fort

D’ailleurs, pour l’entretien, lisez absolument comment nettoyer son sextoy. C’est crucial pour éviter les infections.

Le type de stimulation recherchée

Pour bien choisir son premier sextoy, identifiez ce qui vous attire :

Stimulation externe (clitoris, pénis, tétons) :

Vibromasseurs bullets ou wand
Stimulateurs à air pulsé
Anneaux vibrants

Pénétration (vaginale ou anale) :

Godes classiques ou vibrants
Plugs anaux (commencez PETIT)
Vibros rabbit (mixte externe/interne)

Les deux :

Vibromasseurs multifonctions
Kits avec plusieurs accessoires

Petite note : 70% des femmes ont besoin de stimulation clitoridienne pour jouir. Donc, même si la pénétration vous attire, un toy externe reste souvent indispensable. Pour mieux comprendre, consultez comprendre l’orgasme féminin.

Le niveau sonore (vraiment important)

Sérieusement, vérifiez ça avant d’acheter. Les mentions à chercher :

: silencieux (conversation normale)
: très silencieux (chuchotement)
« Whisper quiet » : le top du silence

Attention, plus c’est puissant, plus ça fait du bruit généralement. Néanmoins, certaines marques haut de gamme arrivent à combiner puissance et discrétion. Le prix s’en ressent, mais la tranquillité n’a pas de prix.

L’alimentation : piles VS rechargeable

Pour choisir son premier sextoy, cette question divise.

Piles :

✅ Moins cher à l’achat
✅ Pas de temps de charge
❌ Coût sur le long terme
❌ Moins écologique
❌ Perte de puissance progressive

Rechargeable USB :

✅ Économique sur la durée
✅ Puissance constante
✅ Écologique
❌ Plus cher à l’achat
❌ Autonomie limitée (1-2h en général)

Mon conseil ? Si votre budget le permet, partez sur du rechargeable. C’est un meilleur investissement. De plus, rien de pire que de tomber en panne de piles au mauvais moment…

Où acheter son premier sextoy (sans stress ni arnaque)

Les boutiques en ligne : le paradis de la discrétion

C’est clairement la meilleure option pour choisir son premier sextoy. Pourquoi ?

Livraison discrète (colis neutre, sans mention)
Choix énorme
Comparatifs et avis clients
Souvent moins cher qu’en boutique physique
Possibilité de retour (vérifiez les conditions)

Sites recommandés :

Adam et Eve : le plus connu en France

Amazon : oui, ils en vendent (section « Hygiène et Santé »)

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Sites officiels des marques (Womanizer, We-Vibe, etc.)

Attention aux sites douteux avec des prix trop beaux pour être vrais. Un Womanizer à 15€ ? C’est une contrefaçon.

Les boutiques physiques : pour les conseils

Moins discret, mais l’avantage des conseils personnalisés. Les vendeur(se)s sont formé(e)s et bienveillant(e)s. Ils/elles ont tout vu, rien ne les choque.

D’ailleurs, certaines boutiques organisent des ateliers pour apprendre à choisir son premier sextoy. C’est moins glauque que ça en a l’air, promis. Ambiance bienveillante, entre adultes consentants.

Avantages :

Voir/toucher les produits (pas les tester, hein)
Conseils d’experts
Achat immédiat
Parfois des démos (sur la main !)

Les réunions style « Tupperware coquin »

Ça existe encore, et c’est parfois super fun. Une conseillère vient chez vous (ou chez une amie) avec une sélection de produits. Ambiance décontractée, entre copines (ou copains), avec du rosé.

C’est une bonne option pour choisir son premier sextoy si vous êtes timide. L’effet de groupe aide à dédramatiser. Par contre, les prix sont souvent plus élevés qu’en ligne.

Le budget réaliste : combien investir pour son premier sextoy

Le strict minimum : 20-30€

À ce prix, oubliez les technologies de pointe. Mais vous pouvez trouver :

Un bullet vibrant correct
Un cockring simple
Un petit plug anal débutant
Des boules de geisha basiques

C’est suffisant pour découvrir si vous aimez. Néanmoins, la durée de vie sera limitée (6 mois à 1 an max).

Le bon rapport qualité/prix : 40-70€

C’est le sweet spot pour choisir son premier sextoy. À ce prix :

Des vibros avec plusieurs modes
Les premiers modèles de grandes marques
Des matériaux de qualité
Une garantie (souvent 1 an)

Par exemple, vous pouvez avoir un masturbateur homme haut de gamme d’entrée de gamme, ou un bon vibromasseur féminin polyvalent.

L’investissement plaisir : 80-150€

Si vous êtes sûr(e) de vous, pourquoi pas. À ce prix :

Technologies avancées (air pulsé, sonic, etc.)
Connectivité app smartphone
Matériaux premium
Garantie longue (2-10 ans selon les marques)
Silence total

Le Womanizer Premium, par exemple, c’est 140€ mais c’est la Rolls des stimulateurs. Pour un premier achat, c’est ambitieux. Mais si vous savez que vous allez l’utiliser souvent, l’investissement vaut le coup.

Les questions gênantes qu’on n’ose pas poser (mais qu’on se pose toutes/tous)

« Est-ce que je vais devenir accro ? »

Non. Un sextoy ne crée pas de dépendance physique.

Cependant, c’est vrai qu’après avoir découvert l’orgasme en 2 minutes chrono avec un vibro, le retour au manuel peut sembler… long. Mais c’est comme le lave-vaisselle : une fois qu’on l’a, difficile de s’en passer. Pour autant, on sait toujours faire la vaisselle à la main.

D’ailleurs, alterner sextoy et masturbation manuelle permet de varier les plaisirs. Et avec un(e) partenaire, le sextoy n’est qu’un accessoire, pas un remplacement.

« Mon mec va se sentir menacé ? »

Peut-être, au début. Beaucoup d’hommes pensent qu’un sextoy = « je ne suis pas suffisant ». C’est faux.

Un sextoy, c’est pas un concurrent. C’est un allié. Comme utiliser des positions différentes ou des lubrifiants. Ça enrichit, ça ne remplace pas.

Pour le rassurer, impliquez-le dans le choix. Utilisez le sextoy ensemble. Montrez-lui que c’est un plus, pas un remplacement. La plupart des hommes finissent par adorer voir leur partenaire prendre du plaisir, peu importe comment.

« Comment je le cache ? »

Excellente question quand on veut choisir son premier sextoy. Voici les meilleures cachettes :

Dans une taie d’oreiller (celle du dessous)
Dans une boîte de tampons/serviettes (personne ne regarde)
Dans un sac à main que vous n’utilisez plus
Dans une chaussette, au fond du tiroir
Dans une pochette dédiée (souvent fournie) elle-même dans un tiroir

Évitez : sous le matelas (cliché), dans la table de nuit (trop évident), dans la salle de bain (humidité = mauvais pour l’électronique).

« Et si je me blesse ? »

Avec un usage normal et du bon sens, risque quasi-zéro.

Néanmoins, quelques règles :

Toujours utiliser du lubrifiant pour la pénétration
Commencer doucement, augmenter progressivement
Ne JAMAIS utiliser un sextoy cassé ou abîmé
Respecter les zones (un toy anal a une base évasée pour ne pas « disparaître »)
Nettoyer avant et après

Si douleur ou inconfort : on arrête. Simple. Le plaisir ne doit jamais faire mal (sauf si c’est voulu, mais c’est un autre sujet).

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Conclusion : choisir son premier sextoy, c’est le début d’une belle aventure

Voilà, vous avez toutes les cartes en main pour choisir son premier sextoy sans stress ni erreur. Que vous optiez pour un petit bullet discret ou un vibro high-tech, l’important c’est que ce choix vous corresponde.

Rappelez-vous : il n’y a aucune honte à vouloir explorer son plaisir. C’est même plutôt sain. D’ailleurs, les personnes qui utilisent des sextoys ont généralement une vie sexuelle plus épanouie, seules ou en couple.

Alors, qu’est-ce que vous attendez ? Ce soir, au lieu de scroller TikTok pendant 2h, pourquoi ne pas faire un tour sur un site spécialisé ? Regardez, comparez, lisez les avis. Prenez votre temps pour choisir son premier sextoy. C’est un investissement dans votre bien-être.

Et puis, dans le pire des cas, si votre premier achat ne vous convient pas totalement, ce n’est pas grave. Maintenant vous savez ce que vous voulez (ou ne voulez pas). Le deuxième choix sera le bon.

Allez, lancez-vous. Votre futur vous remerciera.