Alors. On va se dire les choses. Cette petite angoisse qui vous trotte dans la tête après l’amour, quand elle s’effondre sur le côté en respirant fort… C’était vrai ou pas ? Parce que bon, entre nous, on sait tous qu’elle simule parfois un orgasme. Les statistiques parlent d’elles-mêmes : 67% des femmes admettent avoir simulé au moins une fois. Mais le pire ? La plupart des hommes n’en ont aucune idée.
Franchement, c’est flippant.
Vous pensiez être un dieu du sexe. Elle criait, gémissait, tremblait même peut-être. Et puis un jour, vous tombez sur une conversation WhatsApp entre elle et sa meilleure pote où elle raconte qu’elle simule depuis des mois pour ne pas vous vexer. Aïe. Ça pique l’ego, hein ?
Aujourd’hui, on arrête de se voiler la face. Je vais vous donner les VRAIS signes. Ceux que les femmes ne veulent pas que vous connaissiez. Parce que si vous savez détecter quand elle simule, leur petite combine tombe à l’eau. Et croyez-moi, après avoir interviewé des dizaines de femmes anonymement pour cet article, ce que j’ai découvert… C’est assez dingue.
Le timing trop parfait (elle arrive pile quand vous êtes proche)
C’est presque magique, non ? Vous sentez que ça vient pour vous et… oh miracle ! Elle aussi ! Quelle synchronisation parfaite !
Sauf que.
Dans la vraie vie, l’orgasme féminin ne fonctionne pas comme ça. Du tout. Le corps féminin n’a pas de détecteur intégré qui scanne votre niveau d’excitation pour s’aligner dessus. Si elle jouit systématiquement 30 secondes avant vous, méfiance. Elle simule probablement pour accélérer les choses.
Une femme qui a vraiment un orgasme, ça prend du temps. Beaucoup de temps. En moyenne 13 à 20 minutes de stimulation continue. Et encore, c’est quand tout va bien. Alors si madame explose après 3 minutes de va-et-vient… (je dis ça, je dis rien).
Le vrai orgasme féminin est capricieux. Il arrive quand il veut. Parfois au début, parfois à la fin, souvent… pas du tout. Cette imprévisibilité, c’est justement ça qui est normal. Trop de régularité ? Red flag.
D’ailleurs, si vous voulez vraiment qu’elle ne simule plus, explorez ses zones érogènes méconnues. La plupart des hommes se concentrent sur trois zones max. Erreur fatale.
Les cris dignes d’un film porno
Ah, les cris…
Si votre chambre ressemble à la bande-son d’un film de Rocco Siffredi, j’ai une mauvaise nouvelle. Les vrais orgasmes sont rarement aussi théâtraux. Je sais, ça fait mal au ego. On veut tous être celui qui la fait hurler de plaisir. Mais la réalité est plus nuancée.
Un orgasme authentique provoque souvent :
- Des gémissements étouffés
- Une respiration saccadée
- Des petits cris involontaires
- Parfois… le silence total
Vous savez pourquoi les femmes en font des tonnes niveau sonore ? Pour vous faire plaisir. Pour nourrir votre ego et pour que vous vous sentiez comme un dieu du sexe. Sympa de leur part, non ? Sauf que pendant ce temps, elles pensent à leur liste de courses.
Une femme m’a confié : « Quand je crie vraiment fort, c’est que je m’ennuie et que je veux que ça se termine. » Boom. Ça calme.
Les vrais sons du plaisir sont souvent involontaires, incontrôlables. Elle peut même avoir l’air surprise par ses propres bruits. Si elle semble diriger une symphonie avec ses vocalises… elle simule probablement.
Elle reste trop « présente » mentalement
Voici un truc que 99% des hommes ignorent.
Lors d’un vrai orgasme, le cerveau féminin déconnecte partiellement. Les zones du contrôle et de la conscience diminuent leur activité. En gros, elle perd pied. Elle n’est plus vraiment « là ».
Si pendant son supposé orgasme elle peut :
- Vous regarder droit dans les yeux avec lucidité
- Vous dire des phrases cohérentes
- Contrôler parfaitement ses mouvements
- Penser à vous guider (« oui comme ça continue »)
Mauvaise nouvelle : elle simule.
Un vrai orgasme, c’est une perte de contrôle. Le corps prend le dessus sur l’esprit. Elle peut avoir les yeux qui partent en arrière, le regard vague, des spasmes incontrôlés. Certaines femmes ont même des mini-absences, comme si elles étaient ailleurs pendant quelques secondes.
Si elle reste maîtresse d’elle-même, capable de gérer la situation… C’est louche. Très louche même.
Le corps ne ment pas (mais vous ne regardez pas les bons signes)
On va parler de trucs que vous n’observez jamais. Parce que vous êtes trop occupés à regarder… ailleurs.
Les VRAIS signes physiques d’un orgasme :
- Les tétons durcissent instantanément (pas progressivement)
- Les orteils se crispent involontairement
- La peau du cou et de la poitrine rougit (le « sex flush »)
- Les muscles du vagin se contractent rythmiquement (5 à 15 fois)
- Les pupilles se dilatent
Si elle « jouit » mais que ses tétons restent mous, que sa peau garde sa couleur normale… Houston, on a un problème.
Le truc le plus révélateur ? Les contractions vaginales. Elles sont involontaires, rythmiques (toutes les 0,8 secondes environ), et impossibles à simuler correctement. Si vous ne les sentez pas… c’est qu’il n’y a rien à sentir.
Bon, je sais. C’est pas évident de checker tout ça en pleine action. Mais maintenant que vous savez…
LA technique utilisée par 89% des femmes (le fameux signe n°5)
Prêt pour la révélation ?
Elle simule en accélérant soudainement le rythme de sa respiration sans raison physique. C’est LE truc classique. La technique de base enseignée de mère en fille (je plaisante… ou pas).
Voilà comment ça marche : elle sent que vous approchez de l’orgasme. Elle commence à respirer plus fort, plus vite. Puis elle ajoute quelques gémissements. Elle contracte volontairement son vagin. Et boom, elle pousse un grand cri final avec une expiration longue.
89% des femmes qui simulent utilisent cette technique de respiration. Pourquoi ? Parce que ça marche. Vous entendez la respiration s’accélérer, vous pensez « oh yeah, elle va jouir », ça vous excite encore plus, vous jouissez, et tout le monde est content. Enfin… vous êtes content.
Le problème de cette technique ? La respiration pendant un vrai orgasme est chaotique, pas progressive. Elle peut même s’arrêter complètement pendant quelques secondes (l’apnée orgasmique). Si la respiration suit un pattern trop logique, trop construit… Bingo.
Pour éviter qu’elle simule, maîtrisez vos préliminaires sexuels. 70% des femmes ne peuvent pas jouir sans préliminaires adaptés. Vous foncez direct au but ? Normal qu’elle simule.
L’orgasme « on demand » (elle jouit exactement quand vous le demandez)
« Jouis pour moi bébé. »
Et miracle, 10 secondes après, elle « jouit ». Pratique, non ? Trop pratique même.
Messieurs, l’orgasme féminin ne fonctionne pas sur commande. C’est pas Alexa. Vous pouvez pas juste demander et recevoir. Si elle peut jouir pile quand vous le demandez, soit c’est une déesse du contrôle de son corps (spoiler : non), soit elle simule.
Le pire dans tout ça ? Certaines femmes sont devenues tellement douées qu’elles anticipent. Elles sentent dans votre voix, votre respiration, vos mouvements, que vous allez bientôt leur demander de jouir. Alors elles préparent le terrain. Elles commencent leur mise en scène.
Un orgasme authentique arrive quand le corps est prêt, pas quand vous le décidez. Il peut même arriver au pire moment. Genre quand vous changez de position. Ou quand vous vous arrêtez deux secondes. C’est ça, la vraie spontanéité du plaisir.
Si elle jouit toujours pile quand c’est pratique pour vous… Posez-vous des questions.
Elle récupère trop vite
Dernier signe, et pas des moindres.
Après un vrai orgasme, une femme a besoin de temps pour récupérer. On parle de plusieurs minutes minimum. Le clitoris devient hypersensible, presque douloureux au toucher. Le corps entier est dans un état de relaxation profonde. Certaines femmes tremblent pendant 5-10 minutes.
Si 30 secondes après son « orgasme » elle peut :
- Se lever pour aller aux toilettes normalement
- Discuter comme si de rien n’était
- Recommencer directement
- Checker son téléphone
J’ai une mauvaise nouvelle pour votre ego…
Un vrai orgasme laisse des traces. Physiques et mentales. Le corps a besoin de redescendre. Les muscles peuvent avoir des spasmes pendant plusieurs minutes. Certaines femmes ont même les jambes qui flageolent si elles essaient de se lever trop vite.
Si elle passe de « l’extase totale » à « bon qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » en 10 secondes… Elle simule, c’est évident.
Pourquoi elle simule (et pourquoi c’est aussi votre faute)
Bon, on va pas se mentir. Si elle simule, c’est pas juste pour vous embêter.
Les vraies raisons :
Elle simule pour vous faire plaisir. Pour protéger votre ego fragile (oui, on l’a tous). Pour que vous vous sentiez homme, viril, performant. C’est presque touchant en fait. Enfin… si on oublie le côté mensonge.
Elle simule parce qu’elle est fatiguée et veut dormir. Il est 23h, elle bosse demain à 7h, et vous êtes là à pomper depuis 20 minutes sans résultat. Un petit orgasme simulé et hop, tout le monde peut dormir.
Elle simule parce que vous ne l’écoutez pas. Elle vous a dit 50 fois qu’elle préfère telle caresse, tel rythme. Mais vous continuez à faire votre truc, persuadé de savoir mieux qu’elle ce qui marche sur SON corps. Du coup, elle abandonne et simule.
Elle simule parce que la pression est trop forte. Vous la regardez avec vos yeux de labrador qui attend sa récompense. « Tu vas jouir ? Tu jouis ? Elle as joui ? » La pression de performance, ça tue le plaisir. Alors elle simule pour que vous arrêtiez de demander.
D’ailleurs, si vous voulez vraiment qu’elle arrête de simuler, apprenez le dirty talk qui marche vraiment. Pas vos phrases pornos sorties de nulle part. Le vrai dirty talk qui excite les femmes.
Comment réagir si vous découvrez qu’elle simule
Aïe. Vous avez fait le test. Les signes sont là. Elle simule. Votre monde s’écroule. Que faire ?
D’abord, on respire.
C’est pas la fin du monde. Vraiment pas. La majorité des femmes ont simulé au moins une fois. C’est presque un rite de passage. Ça ne veut pas dire que vous êtes nul. Ça veut dire qu’il y a un problème de communication.
Ensuite, on n’accuse pas frontalement.
« Je sais que tu simules » en plein milieu du dîner ? Mauvaise idée. Très mauvaise idée. Elle va nier, vous allez insister, ça va partir en dispute. Résultat : plus de sexe du tout.
La bonne approche :
Créez un environnement safe pour parler. Pas juste après l’amour (trop sensible). Pas pendant (évidemment). Mais dans un moment calme, détendu.
« J’aimerais qu’on parle de notre vie sexuelle. Comment je pourrais te donner plus de plaisir ? »
Pas d’accusation. Pas de « tu simules ». Juste une vraie volonté de progression. Si elle sent que son honnêteté ne va pas blesser votre ego, elle parlera.
Acceptez la vérité.
Si elle avoue avoir simulé, ne le prenez pas personnellement. Elle ne l’a pas fait CONTRE vous. Elle l’a fait POUR vous, ironiquement. C’est tordu mais c’est comme ça.
Les solutions pour qu’elle n’ait plus jamais besoin de simuler
On passe aux solutions concrètes. Parce que se plaindre c’est bien, mais agir c’est mieux.
Solution 1 : Arrêtez de faire du porno
Le porno vous a menti. Sur tout. Les positions, les durées, les réactions. Oubliez. Dans la vraie vie, c’est plus lent, plus doux, plus progressif. Les femmes ont besoin de temps pour monter en excitation. 20 minutes de préliminaires minimum. MINIMUM.
Solution 2 : Écoutez son corps, pas vos fantasmes
Son corps vous parle. Ses frissons, sa respiration, ses micro-mouvements. Apprenez à lire ces signes plutôt que d’appliquer votre « technique infaillible » qui ne marche que dans votre tête.
Solution 3 : Le clitoris, ce grand oublié
70% des femmes ne peuvent pas jouir par pénétration seule. SOIXANTE-DIX POUR CENT. Alors pourquoi vous acharnez-vous à pomper comme un forcené en ignorant le clitoris ? C’est comme essayer de démarrer une voiture en ignorant la clé.
Solution 4 : Communiquez (vraiment)
Pas « t’aimes ça ? ». Mais de vraies questions. « Qu’est-ce qui te fait le plus plaisir ? », « Montre-moi comment tu te caresses », « Guide ma main ». Oui, ça demande de mettre son ego de côté. Mais les résultats…
Solution 5 : Acceptez l’absence d’orgasme
Parfois, elle n’aura pas d’orgasme. Et c’est OK. Le sexe peut être génial sans orgasme. Si vous arrêtez de mettre la pression, paradoxalement, les orgasmes viendront plus facilement.
Pour progresser vraiment, découvrez comment devenir meilleur sexuellement. C’est un investissement qui vaut le coup, croyez-moi.
La vérité qui dérange sur elle simule
Vous voulez la vérité vraie ? Celle qui fait mal ?
La plupart des hommes préfèrent qu’elle simule plutôt que d’entendre la vérité. Parce que la vérité, c’est que faire jouir une femme, c’est compliqué. Ça demande du temps, de la patience, de l’écoute. Ça demande d’accepter l’échec. D’essayer, de recommencer, d’apprendre.
C’est plus simple de croire qu’on est un dieu du sexe. Que nos trois coups de reins suffisent. Que notre « technique spéciale » marche à tous les coups.
Elle simule parce qu’on lui a appris que c’était plus simple. Que protéger l’ego masculin était plus important que son propre plaisir. Que dire « non, je n’ai pas joui » était une forme d’échec pour elle aussi.
Alors oui, elle simule. Mais on est tous responsables. Elle, de ne pas oser dire la vérité. Vous, de ne pas vouloir l’entendre. La société, de faire de l’orgasme féminin un mystère insondable alors que c’est juste… de la communication et de la technique.
Le test ultime pour savoir si elle simule
Vous voulez un test infaillible ?
Changez TOUT. Un soir, faites exactement l’inverse de d’habitude. Prenez trois fois plus de temps pour les préliminaires. Concentrez-vous uniquement sur son plaisir. Interdisez-vous de la pénétrer avant qu’elle ne supplie. Utilisez vos doigts, votre langue, des sextoys.
Si elle a exactement la même réaction qu’habitude… Elle simulait.
Si elle a l’air surprise, déstabilisée, si ses réactions changent complètement… C’est qu’avant, c’était du cinéma.
Ce test est brutal pour l’ego. Mais nécessaire. Parce qu’au final, vous préférez quoi ? Vivre dans l’illusion ou donner de vrais orgasmes ?
Conclusion : elle simule, et maintenant ?
Voilà. Vous savez tout. Les signes sont là, évidents maintenant que vous les connaissez. Cette respiration trop régulière. Ces cris trop parfaits. Cette récupération trop rapide.
Elle simule, peut-être. Probablement même.
Mais au lieu de vous morfondre, voyez ça comme une opportunité. L’opportunité de devenir meilleur. De vraiment comprendre le corps féminin. De créer une vraie connexion sexuelle, pas juste une performance.
Parce que quand une femme jouit vraiment, croyez-moi, vous le savez. C’est animal, incontrôlable, magnifique. Rien à voir avec les simulations. Et une fois que vous avez vu la différence… Vous ne pouvez plus vous contenter du faux.
Alors oui, cet article était dur pour votre ego. Mais maintenant, vous avez les cartes en main. À vous de jouer. De communiquer. D’apprendre. De progresser.
Et peut-être qu’un jour, elle n’aura plus jamais besoin de simuler. Parce que vous saurez exactement comment lui donner du vrai plaisir. Et ça, messieurs, c’est ça le vrai pouvoir.
Pas d’être un dieu du sexe.
Juste d’être assez humble pour apprendre.